Comment réussir son retour au travail après un Burn-out

Comment réussir son retour au travail après un Burn-out

Comment réussir son retour au travail après un Burn-out

La littérature sur le sujet du burnout[1] ou de l’épuisement professionnel, s’est étoffée. Il est aisé de trouver des informations sur les causes, les symptômes et les différentes phases de cette maladie. En revanche, le retour au travail après une longue absence de plus de six mois est un sujet moins étudié, comme s’il allait de soi de reprendre le travail.

Le burnout est souvent vécu comme une expérience douloureuse et traumatisante, voire violente, pouvant faire vaciller les plus forts au point que l’on parle très souvent d’un avant et d’un après burnout. Il est important de noter que le burnout peut toucher tout le monde, même les personnes les plus solides. Cependant, je constate, sans pour autant avoir recherché une preuve scientifique, que les hypersensibles qui représentent une grande partie de ma clientèle sont plus exposés au surmenage.

C’est pourquoi il est important de réfléchir à la reprise du travail avec un psychologue du travail ou un coach, afin d’éviter toute rechute. Il est primordial d’aider la personne à redéfinir son rapport au travail et à la place qu’elle souhaite lui donner dans sa vie.

La reprise du travail doit donc être préparée à l’avance. Dans cet article, je vais partager mon expérience terrain de plus de 25 ans dans l’accompagnement de clients qui ont été en très long arrêt maladie pour burnout et qui doivent reprendre le travail.

Cet article va répondre à 2 questions :

– A quel moment réfléchir et préparer son retour ?

– Pourquoi être accompagné par un psychologue du travail ? Dans quel but ?

[1] Le burnout est un état de stress chronique qui résulte d’une exposition prolongée à des situations stressantes, telles que des exigences élevées au travail ou une charge de travail excessive. Les symptômes du burnout comprennent l’épuisement émotionnel, la dépersonnalisation (sentiment de détachement ou de cynisme envers les autres), ainsi qu’une diminution de l’accomplissement personnel et professionnel. Le burnout peut affecter non seulement la santé mentale, mais également la santé physique et le bien-être général.

burnout

1. Pour démarrer, rappel des 4 phases du Burnout

  1. La première étape est la décompression, qui consiste à accepter l’arrêt maladie, ce qui peut être difficile pour les personnes en burnout car elles sont très investies dans leur travail. Elles peuvent être dans le déni et n’acceptent la situation que lorsqu’elle devient sévère. Au démarrage, l’arrêt peut être juste de quelques semaines, mais il peut être prolongé. Cela oblige les personnes à lâcher prise, mais cela peut être difficile en raison d’un sentiment de culpabilité ou d’angoisse.
  2. La deuxième étape est la récupération, qui consiste à se reposer et à prendre soin de soi. Il est important de laisser au temps du temps pour se remettre. Une aide[2] est également importante à cette étape pour permettre à la personne de retrouver son équilibre physique, mental et émotionnel. C’est essentiel de prendre son temps pour se rétablir complètement avant de penser à la reprise du travail.
  3. La troisième étape est celle de la reconstruction. Une introspection est fortement conseillée ainsi qu’une réflexion sur la reprise du travail. Il est important de déterminer à quel moment la personne sera prête à reprendre le travail et dans quelles conditions. Cette réflexion doit être conduite avec l’aide d’un psychologue du travail ou d’un coach pour éviter de rechuter et être soutenu dans le remise en question profonde souvent pénible à vivre à ce moment-là. La personne doit souvent de faire le deuil de son ancienne façon de travailler et de se reconstruire sur de nouvelles bases. C’est pourquoi être accompagné par un psychologue du travail est fortement recommandé.
  4. La quatrième étape est la reprise du travail elle-même. Il est fondamental de préparer cette reprise en douceur et de ne pas se surmener dès les premiers jours. Il est également important de se fixer des limites et de ne pas retomber dans les mêmes travers qu’avant le burnout. L’entreprise peut alors proposer à son salarié un coaching de réintégration.

[2] Equipe pluridisciplinaire, thérapeute, médecin, naturopathe, énergéticien, acupuncteur, …

2. La phase d’introspection

Maintenant que j’ai présenté les 4 phases d’un burnout, je me propose de donner quelques éléments de la phase d’introspection.

ll est donc important de commencer par identifier et comprendre les éléments qui ont généré une perte d’énergie dans son environnement professionnel. Pour cela, il est nécessaire d’identifier les sources de déclenchement et les causes du burnout, que ce soit en examinant les comportements toxiques subis en entreprise ou auto-infligés. Cette introspection permettra de définir ce que l’on veut, mais surtout ce que l’on ne veut plus à l’avenir. Cela implique de s’interroger sur son rapport au travail, sur ce qui est important pour soi, sur le rythme du travail ou encore sur la place du travail dans sa vie.

Est-ce donc revenir dans l’entreprise au même poste ? Est-ce envisager une reconversion ? Est-ce vouloir un départ ? Est-ce quitter le salariat ?

Ce travail de bilan peut être difficile, d’où l’importance d’être accompagné par un professionnel pour se remettre en question, identifier les moments clés et prendre du recul sur son histoire professionnelle. Cette étape est essentielle pour éviter de répéter les mêmes schémas et permettre de se fixer de nouveaux objectifs en revisitant son rapport au travail.

Il est également important de reconstruire sa confiance en soi et d’adopter de nouvelles habitudes antistress pour mieux faire face au stress.

Ce processus de réflexion peut prendre plusieurs semaines, voire plusieurs mois, mais il permettra de reprendre sa vie professionnelle avec sérénité et de retrouver un état d’esprit positif.

3. En conclusion !

Le burnout est une maladie complexe qui nécessite une prise en charge globale. La reprise du travail après un burnout doit être soigneusement réfléchie afin d’éviter toute rechute. Il est utile de se faire accompagner par un professionnel pour rétablir une relation saine avec le travail, de respecter les différentes étapes de la reconstruction et de ne pas se précipiter lors de la reprise des activités professionnelles. Un suivi régulier avec un spécialiste permettra de vérifier la progression et de prendre les mesures nécessaires en cas de difficultés rencontrées. Enfin, il est essentiel de se rappeler que la guérison peut prendre du temps et que la patience et la bienveillance envers soi-même sont des éléments clés du processus de guérison.

En savoir plus …

Vous êtes concerné ou l’un de vos salarié est concerné par cette situation de burnout et de problématique de retour au travail, je propose :

– Un bilan de compétences spécifique pour les personnes en burnout : « Reconnexion » qui peut être financé avec votre CPF.

– Un coaching « de reprise de travail après un long arrêt maladie suite au burnout » financée par votre entreprise.

Pour aller plus loin

Litterature :

 

Blogs de référence :

Réseau Burnout : Etude pilote à partir de la clientèle d’un coach sur quel retour au travail après un burnout ? 07/2017

La clinique e santé

Ciao Burnout : Site recommandé+++ : 2 entrées possibles l’une pour les malades, l’autre pour les professionnels. Très accessible

– Plateforme qui propose aux particuliers étant en Burn out un programme pour s’en sortir « ciao burnout »

– Plateforme pour les praticiens médecins, psychologues, RH qui souhaitent se former. « La boite à outils ciao burnout»

MgFrance Test en ligne pour savoir si vous êtes en burn-out créé par la psychologue Christina Maslach experte en burnout : Le Test de Maslach Burn out Inventory (MBI test)

Que fait un psychologue du travail ?

Que fait un psychologue du travail ?

Que fait un psychologue du travail ?

Tout d’abord, il semble pertinent de vous définir ce qu’est la psychologie du travail et des organisations avant même de parler du rôle du psychologue du travail et des partis pris décidés au sein du cabinet de Mouv’Up Conseils.

1. Les 3 caractéristiques de la psychologie du travail et des organisations

Pour vous expliquer ce qu’est la psychologie du travail et des organisations, je vais reprendre les trois caractéristiques que mon confrère Quentin THEVENON décrit dans son blog* car je trouve qu’il résume de manière très pertinente et simplement ce qu’est cette discipline de la psychologie.

*blog du psy du travail

a. C’est une activité qui est « multi paradigmatique » :
Ses cadres théoriques sont différents et inséparables. Ainsi, la Psychologie du travail et des organisations se référera à la psychologie cognitive, à la psychologie sociale, à la psychanalyse, à l’ergonomie, à la psychologie différentielle, à la psychologie clinique et pathologique… sans avoir de courant dominant.
b. Elle est « multi méthodologique » :
La psychologie du travail et des organisations n’a pas de spécificité méthodologique, si ce n’est de se centrer sur l’analyse des situations réelles de travail. Pour ce faire, elle utilisera à la fois des méthodes quantitatives (questionnaires), étalonnées (tests), qualitatives (entretiens), participatives (observation), expérimentales (construction de protocoles expérimentaux), ou toutes autres méthodes qui lui permettra de produire, analyser et interpréter des données sur l’homme au travail.
c. C’est encore « multi pratique » :
La psychologie du travail et des organisations analyse et intervient sur tous les domaines de l’activité humaine sans restriction. Si certaines sous-disciplines de la psychologie appliquent leurs théories sur des populations ou des domaines circonscrits (comme la psychologie de l’éducation, ou la psychologie gérontologique), la psychologie du travail et des organisations n’a pas de telles restrictions.

2. Le psychologue du travail a un champ d’action très large

Les domaines d’expertises des psychologues du travail sont donc très diversifiés. Ils se situent tant au niveau du travail (fiches de postes, aménagement), que de la personne (recrutement, évaluation, formation, accompagnement, orientation), des groupes (management, négociation, conflits), ou de la société (chômage, insertion).
Dans ces domaines variés, les pratiques d’intervention le sont aussi.
On trouve des démarches d’intervention centrées sur l’aménagement et la correction de situations de travail, sur le développement de la personne, sur des techniques d’animation, sur des méthodes d’évaluation des hommes, sur des techniques d’audit organisationnel, etc…

3. Le rôle du psychologue du travail

Le psychologue du travail met son expertise de la compréhension des comportements humains au service du « bien-être au travail ». Il intervient dans différentes situations : gestion de conflit, médiation, soutien psychologique, cellules de crise, formation, etc…

Son rôle est avant tout d’accueillir et soutenir les personnes en difficulté ou en détresse au travail, par une écoute ancrée sur la compréhension des situations de travail et l’élaboration de possibilités d’action et de solutions.
Cette action de soutien peut se faire en individuel ou en collectif lors d’une situation grave ou détériorée vécue au travail : violence externe ou interne, harcèlement, accident de travail ou tentative de suicide au travail, …

4. Les 3 principes fondamentaux que le psychologue du travail se doit de mettre en œuvre

Quelque que ce soit le champ d’intervention, le psychologue du travail mettra toujours en œuvre les 3 principes fondamentaux suivants :

a. Le respect de la déontologie de la profession,
b. La construction d’une intervention qui soit adaptée au problème du terrain,
c. La validation de l’efficacité de son geste professionnel.

5. Les orientations de Mouv’Up Conseils cabinet de psychologie du travail et de conseils en transition professionnelle.

Ne soyons pas dupe l’objectif premier du travail, n’est pas d’aller bien !

Mais lorsqu’on est psychologue du travail, on ne peut pas contester les bienfaits d’une activité professionnelle : Elle garantit une place dans la société, rythme le quotidien, permet de faire des projets.
Autonomie, désir de se sentir compétent, reconnaissance, perspectives, capacité à se projeter dans le temps, possibilité d’influer sur les choses, conditions de travail décentes, l’ensemble des experts interrogés est formel : le salarié attend beaucoup de son travail.

Etant diplômée du CNAM*, j’interviens selon les principes de la clinique, les méthodes de la clinique du travail et plus spécifiquement de la psychodynamique du travail laquelle accorde au travail une place centrale dans la construction de l’identité et donc dans la préservation de la santé mentale et physique.

Autrement dit, je suis une clinicienne de l’activité, du travail et du sujet dans son contexte professionnel.
J’accompagne de manière individuelle les personnes à se positionner en tant que sujet et non en victime, à travers le développement de leur pouvoir d’agir.

Comme je crois profondément que le travail peut et doit être source d’épanouissement et de développement personnel et que le travail est central dans la création identitaire et l’équilibre psychologique ; je vous accompagne dans différentes étapes ou moments-clefs de votre vie professionnelle.

Je peux notamment vous aider à :

– Dépasser une difficulté passagère, à prendre du recul face à certaines situations professionnelles (évaluations annuelles, conflits…), à faire face à des changements qui vous déstabilisent.
– Surmonter les conséquences psychologiques d’un licenciement, d’un harcèlement moral, d’un burnout, épreuves traumatisantes qu’il convient d’accompagner afin de restaurer une bonne estime de soi ainsi que la confiance en soi, en l’avenir et en l’autre.

Je vous écoute en toute bienveillance et vous aide à cheminer, pas à pas, dans un cadre rassurant, vers un mieux-être. Cela passe par l’expression et la compréhension de ce que vous avez vécu et ce que vous vivez encore actuellement.
Quand la remise en question est plus profonde ou la souffrance trop grande, alors un changement, grand ou petit, paraît inévitable nous pourrions par exemple décider ensemble de travailler sur la (re)construction d’une vie professionnelle qui ait davantage de sens pour vous.

*CNAM : Conservatoire National des Arts et Métiers

Pour vous donner une idée, voici quelques exemples de situations qui ont amené des anciens clients à me consulter :

– Un déficit de confiance et d’estime de soi,
– Le travail ne fait plus sens,
– Se sentir de moins en moins libre, de plus en plus pressuré dans son travail,
– La mise en concurrence des personnes entre elles,
– Des « injonctions paradoxales » qui peuvent causer des problèmes éthiques,
– De la souffrance du fait que la frontière est étroite entre « Je ne fais pas un travail de bonne qualité » et « Je ne suis pas de bonne qualité » : ce qui aboutit facilement à une remise en cause de soi et qui peut être la porte ouverte à la dépression,
– Une violence émotionnelle, des situations dans lesquelles « les travailleurs sont obligés de cacher, maîtriser ou feindre leurs émotions,
– Aucun point commun avec l’entreprise qui considère le salarié comme une donnée d’ajustement,
– Retour au travail après un Burn out
– Une perte d’emploi,
– Une envie de reconversion,
etc …

Mouv’Up Conseils vous propose un entretien diagnostic OFFERT pour cela, cliquez sur ce lien.

Le prochain article ce sera sur la thématique du Burn out.

Pour aller plus loin

Livres :

Blogs de référence :

Psychologie positive au travail

Blog du psy du travail

Faire son bilan de compétences avec un psychologue du travail ou un coach ? Qui choisir ?

Faire son bilan de compétences avec un psychologue du travail ou un coach ? Qui choisir ?

Faire son bilan de compétences avec un psychologue du travail ou un coach ? Qui choisir ?

La semaine dernière, j’ai lu un article dans lequel une responsable de centre de bilan de compétences raconte qu’elle ne recrute que des coachs et surtout pas de psychologue du travail pour mener à bien les bilans de compétences qu’elle propose…

Le plus étonnant, c’est qu’elle dit être elle-même psychologue du travail !

Dans le même temps, d’autres structures qui réalisent des prestations de bilan de compétences n’embauchent rien que des psychologues du travail et rien que ce profil.

 Vous souhaitez faire un bilan de compétences et vous vous sentez perdu ? Vous ne savez pas qui choisir choisir un psychologue du travail ou alors un coach ? Comment s’y retrouver ?

 Nous allons voir dans cet article quelques éléments pour y voir un peu plus clair.

1. Le bilan de compétences est normalisé c’est-à-dire il est toujours composé des mêmes étapes

Tout d’abord, sachez qu’avec le bilan de compétences on se situe dans un cadre très réglementé. Tant les coachs que les psychologues du travail sont dans l’obligation de suivre le cadre que la loi a établi.
Vous passez des tests, vous analysez votre parcours professionnel, vous identifiez vos compétences, vous déterminez votre personnalité ainsi que vos motivations et aptitudes. Le bilan de compétence est composé des mêmes grandes étapes que vous soyez accompagné par un psychologue du travail ou un coach. L’objectif du bilan de compétence est de vous permettre de définir votre projet professionnel et votre plan d’action et peu importe le profil de celui qui vous accompagne.

2. Le psychologue du travail ou le coach c’est avant tout un guide.

Le consultant en bilan de compétences est là pour vous accompagner afin que vous puissiez atteindre la situation professionnelle qui vous ressemble. Néanmoins le coaching s’inspire beaucoup de la psychologie. Le psychologue du travail se doit d’appliquer la charte déontologie du psychologue et en règle générale, il a un numéro ADELI*.
Un bon accompagnant se doit d’être éthique, bienveillant et de garder les informations confidentielles. Là encore dans le cadre du bilan de compétence, il est obligatoire de remettre au bénéficiaire une charte de déontologique du bilan de compétence. Et l’on remarque que cette charte, qu’elle soit élaborée par un psychologue du travail ou un coach, regroupe généralement les mêmes items : l’éthique, la bienveillance des intervenants, la confidentialité, thématiques toujours en liens tel que le loi sur le bilan de compétences l’exige.
* Adeli est un répertoire national qui recense les professionnels de santé réglementés en mentionnant leurs lieux d’exercice et leurs diplômes, qu’ils exercent en libéral ou salarial.

3. Quelques conseils ! que je peux vous donner

compte tenu de mes presque trente ans d’expérience en qualité d’accompagnante de personnes en bilan de compétences.

a. Faire confiance à votre feeling
Lors de votre rendez-vous diagnostic, le plus important est d’évaluer l’écoute du psychologue du travail ou du coach. N’hésitez pas à le questionner sur son expérience et son vécu.
Evaluez si vous vous sentez à l’aise et en confiance avec lui. Sinon, passez au suivant. Il est recommandé de rencontrer 2 ou 3 organismes afin d’être sûr de faire un choix éclairé. Attention toutefois : dans les gros organismes ceux qui mènent les entretiens de diagnostic ne sont pas forcément les personnes qui vous accompagneront. N’hésitez donc pas à demander si la personne qui vous reçoit est celle qui réalisera la mission. Si ce n’est pas le cas, je vous incite à demander à la rencontrer car vous sentir à l’aise avec le consultant est primordial. Osez dire NON si le professionnel ne vous convient.

b. Un bon indicateur : les avis des anciens clients
Je vous invite à rechercher l’organisme en question sur internet et notamment Sur Google Maps afin d’avoir accès aux témoignages des anciens clients, surtout si personne ne vous l’a recommandé.
De plus, ce n’est pas parce qu’on vous a recommandé tel ou tel organisme ou tel ou tel psychologue du travail ou coach que leur approche collera avec vos besoins. Il y a une vraie obligation que vous vous sentiez à l’aise avec le professionnel. Ecoutez-vous en essayant autant que possible de ne pas vous laisser influencer.

4. En conclusion

Dans le cadre d’un bilan de compétences, que vous le fassiez avec un coach ou un psychologue du travail, ce n’est pas si important tant que l’un et l’autre sont de bons professionnels.
Toutefois, sachez que chacun est libre d’utiliser les exercices adaptés (et même crées) pour chaque bénéficiaire en lien avec son mode de fonctionnement et ses besoins.
Chez Mouv’Up Conseils les accompagnements sont conçus sur mesure, pour s’adapter au mieux à vos besoins.

S’il faut trancher, je dirais que la réelle différence entre un psychologue du travail et un coach c’est que le psychologue du travail est plus armé :

  • – Pour aider des personnes en situation de difficultés liées au travail (Burn out, en souffrance,) et pouvoir prendre en compte la détresse psychologique même si un bilan de compétences n‘est pas une thérapie.
  • – Le psychologue est un réel expert des transitions. Il est souvent mieux formé qu’un coach ou un consultant. Il a derrière lui au moins 5 ans d’études.
  • – Il vous permettra d’aller plus loin dans la connaissance de vous-même, sur l’analyse de votre motivation et sur vos besoins les plus profonds.

Vous voulez en savoir plus sur les 3 bilans que Mouv’Up Conseils propose ?

Mouv’Up Conseils vous propose un entretien diagnostic OFFERT pour cela, cliquez sur ce lien.

Le prochain article : Pourquoi consulter un psychologue du travail.